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English to French: Sample from a training document for health professionals about a new drug for COPD management General field: Medical Detailed field: Medical: Pharmaceuticals
Source text - English Control of airway smooth muscle
The smooth muscle contained within the walls of the larger airways can be contracted and relaxed to adjust the level of airflow into the lungs.
Bronchodilation
Bronchodilation occurs when the smooth muscle in the airways is relaxed. The relaxation of smooth muscle in the airways is controlled by the sympathetic nervous system. Activation of the sympathetic nervous system causes the release of noradrenaline (also known as norepinephrine), which binds to a protein molecule on the smooth cell surface called the adrenergic receptor.
Bronchoconstriction
Contraction of smooth muscle in the airways, bronchoconstriction, reduces airflow into the lungs. The contraction of airway smooth muscle is controlled by the parasympathetic nervous system. Stimulation of the parasympathetic nervous system causes release of acetylcholine, which binds to a muscarinic (or cholinergic) receptor. Within bronchial tissue, the binding of acetylcholine to muscarinic receptors triggers a signaling cascade that results in contraction of airway smooth muscle, reducing airflow into the lungs. Unlike the adrenergic receptors, the muscarinic receptors are not found directly on smooth muscle cells.
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Currently available inhalation devices for COPD fall into the following major types:
• Nebulizer
• Pressurized metered-dose inhaler (as known as pMDIs)
• Dry-powder inhaler (DPI) - can be single-dose (SD-DPIs) or multi-dose (MD-DPIs).
The most commonly used inhalation devices in COPD are pMDIs and DPIs, which will be the focus of this section. Nebulizers are usually only used by patients who find other inhalers difficult to use, have more severe disease or in emergency situations. These devices use oxygen, compressed air or ultrasonic powder to disperse medication from a liquid form. The resulting mist is inhaled by the patient through a mask. In the past, these devices have been considered inconvenient because they are large, bulky and require a power source, although they are now becoming increasingly small and faster to use.
Currently available inhalation devices for COPD fall into the following major types:
• Nebulizer
• Pressurized metered-dose inhaler (as known as pMDIs)
• Dry-powder inhaler (DPI) - can be single-dose or multi-dose
Physicians still tend to prescribe nebulizers for elderly patients and those with severe COPD for whom other inhaler devices are unsuitable, and use them in emergency situations.
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The efficacy and safety of XXX® for the treatment of patients with COPD is being evaluated in the IGNITE Phase III clinical trial program.
IGNITE is one of the largest international Phase III programs in COPD, comprising ten studies in over 7000 patients across 42 countries. Eight of these studies are complete and all met their primary endpoints.
The study designs and outcomes of these five studies will be covered in more detail in this section:
SHINE: The primary endpoint compared trough FEV1 with XXX® vs. UUU and VVV at 26 weeks. Secondary endpoints compared lung function, TDI focal score, SGRQ score, rescue medication use, and safety with XXX® vs. VVV, UUU, placebo and open-label TTT (ZZZ®).
SPARK: The primary endpoint compared the rate of moderate to severe COPD exacerbations with XXX® vs. VVV over 64 weeks. Comparison of exacerbations between XXX® and open-label TTT (ZZZ®) was a secondary endpoint.
ILLUMINATE: The primary endpoint compared the area under the curve from 0 to 12 hours post dose for FEV1 (FEV1 AUC0-12h) with XXX® vs. YYY® WWW® at 26 weeks. Secondary outcomes included other spirometric endpoints, TDI focal score, SGRQ score, rescue medication use, daily patient-reported clinical symptoms, and safety.
BRIGHT: The primary endpoint was exercise endurance time for XXX® vs. placebo at Day 21. Dynamic inspiratory capacity (IC) at isotime during exercise, trough IC, trough FEV1 and trough forced vital capacity were also measured.
ENLIGHTEN: The primary endpoint was the reporting rate of adverse events for XXX® vs. placebo over 52 weeks. Secondary endpoints included other safety outcomes and measures of lung function.
Translation - French Contrôle du muscle lisse dans les voies respiratoires
Le muscle lisse situé dans les parois des voies respiratoires plus larges peut se contracter et se détendre afin d'ajuster le débit ventilatoire dans les poumons.
Bronchodilatation
La bronchodilatation se produit lorsque le muscle lisse des voies respiratoires se détend. La détente du muscle lisse dans les voies respiratoires est contrôlée par le système nerveux sympathique. L'activation du système nerveux sympathique entraîne la libération de noradrénaline (ou norépinéphrine), qui se lie à une protéine appelée récepteur adrénergique sur la surface de la cellule musculaire lisse.
Bronchoconstriction
La contraction du muscle lisse dans les voies respiratoires, ou bronchoconstriction, réduit le débit d'air dans les poumons. La contraction du muscle lisse dans les voies respiratoires est contrôlée par le système nerveux parasympathique. La stimulation du système nerveux parasympathique entraîne la libération d'acétylcholine, qui se lie à un récepteur muscarinique (ou cholinergique). Dans le tissu bronchique, la liaison d'acétylcholine à des récepteurs muscariniques entraîne une cascade de signaux conduisant à la contraction des voies respiratoires et réduisant le débit d'air dans les poumons. Contrairement aux récepteurs adrénergiques, les récepteurs muscariniques ne sont pas situés directement à la surface des cellules musculaires lisses.
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Les dispositifs d'inhalation disponibles actuellement pour la BPCO sont classés selon les types majeurs suivants :
• Nébuliseur
• Inhalateur pressurisé à valve doseuse (Pressurized metered-dose inhaler ; pMDI)
• Inhalateur à poudre sèche (IPS) - en dose unique ou en doses multiples
Les pMDI et les IPS qui seront détaillés dans cette rubrique sont les dispositifs d'inhalation les plus couramment utilisés pour le traitement de la BPCO. En général, les nébuliseurs sont uniquement utilisés par les patients trouvant d'autres inhalateurs difficiles à utiliser, atteints d'une maladie plus grave ou lors de situations d'urgence. Dans le passé, ces dispositifs étaient jugés inconvénients, car larges, volumineux et nécessitant une source d'énergie, bien qu'ils soient maintenant de plus en plus petits et rapides à utiliser.
Les dispositifs d'inhalation disponibles actuellement pour la BPCO (broncho-pneumopathie chronique obstructive) sont classés selon les types majeurs suivants :
• Nébuliseur
• Inhalateur pressurisé à valve doseuse (Pressurized metered-dose inhaler ; pMDI)
• Inhalateur à poudre sèche (IPS) - en dose unique ou en doses multiples
Les médecins ont encore tendance à prescrire des nébuliseurs pour les patients âgés et ceux atteints de BPCO sévère pour qui les autres dispositifs d'inhalation sont inappropriés, et qui les utilisent en situation d'urgence.
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L'efficacité et la sécurité d'XXX® pour le traitement de patients atteints de BPCO sont en cours d’évaluation dans le programme clinique de l'étude de phase III IGNITE.
IGNITE est l'un des plus grands programmes internationaux de phase III sur la BPCO, comprenant dix études sur plus de 7000 patients dans 42 pays. Huit de ces études sont terminées et ont toutes satisfait leurs critères d'évaluation primaires.
Les conceptions et les résultats de ces cinq études seront développés plus en détail dans cette rubrique :
SHINE : le critère d'évaluation primaire comparait le VEMS résiduel avec XXX® vs UUU et VVV à 26 semaines. Les critères d'évaluation secondaires comparaient la fonction pulmonaire, le score focal ITD (indice transitionnel de dyspnée), le score SGRQ, l'utilisation de médicaments de secours, et la sécurité d’XXX® vs VVV, UUU, placebo et TTT en ouvert (ZZZ®).
SPARK : le critère d'évaluation primaire comparait le taux d'exacerbations de BPCO modérées à sévères avec XXX® vs VVV pendant 64 semaines. La comparaison des exacerbations entre XXX® et le TTT en ouvert (ZZZ®) était un critère d'évaluation secondaire.
ILLUMINATE : le critère d'évaluation primaire comparait l'aire sous la courbe de 0 à 12 heures post administration du VEMS (VEMS ASC0-12h) avec XXX® vs AAA® à 26 semaines. Les résultats secondaires comprenaient d'autres critères d'évaluation spirométriques, le score focal ITD, le score SGRQ, l’utilisation de médicaments de secours, les symptômes cliniques rapportés chaque jour par les patients, et la sécurité.
BRIGHT : le critère d'évaluation primaire était le temps d'endurance à l'effort avec XXX® vs placebo au jour 21. On a également mesuré la capacité inspiratoire (CI) dynamique à isotime pendant l'exercice, la CI résiduelle, le VEMS résiduel et la capacité vitale forcée résiduelle.
ENLIGHTEN : le critère d'évaluation primaire était le taux de rapport d'événements indésirables avec XXX® vs placebo pendant 52 semaines. Les critères d'évaluation secondaires comprenaient d'autres résultats et mesures sur la sécurité pour la fonction pulmonaire.
English to French: Article from the Guardian Weekend General field: Other Detailed field: General / Conversation / Greetings / Letters
Source text - English Islay has a broad, prosperous look unfamiliar in the rest of the Hebrides. Expensive looking farm equipment lumbers up and down large fields. Villages whose paintwork proclaims sparkling well being have an 18th century formality contrasting with the rural haphazardness of most Highland communities. Bowmore is one of the oldest planned villages in Scotland. There is also a noticeable lack of the ubiquitous Hebridean tip or the Highland fling.
This is all largely because Islay, by an oversight of history, has had a major industry for more than 200 years; its fortunes have ebbed and flowed on a tide of malt whisky ever since. Throughout the 18th century, successive lairds capitalised on the unaccountable absence of any local excise officer to build up a thriving whisky enterprise. Today only Speyside has more distilleries per square mile.
Bowmore Distillery, founded in 1770, is the oldest of the eight remaining on Islay and only one of four left in Scotland to do its own malting. Hence a pleasant tang of peat smoke hangs over the village, adding a convincing whiff of authenticity to marketing emphasis on the natural character of the process.
The Islay distilleries have woken up to the importance of PR; all welcome visitors and each claims a unique distinction. After years of sea breezes blowing through their warehouses, these are the malts that put hairs on a man's chest ("If there were any men", sotto voce from our embittered crew most of whom took one look at the elderly busload tottering into the visitor centre and decided to stay in the car).
Our rented cottage, one of a row of former workers' houses converted by another distillery, Bunnahabhain, shared a wild bit of coast near Port Askaig with sea birds, several hogsheads and a trawler wreck. A better equipped holiday base I have yet to see. We had cause to bless its driers hair and tumble and a food processor for our three, inconveniently sudden vegetarian converts.
It was local loyalty perhaps, but Bunnahabhain, less heavily peated than the better known Laphroaigs and Lagavulins of the south coast, proved our favourite of the Islay malts; perhaps it was the label, which shows an old sea dog westering home with a song in the air and the wind in his whiskers.
As for things to do, there were plenty. The Museum of Islay Life in Port Charlotte, an award winner, is a model of its kind, stuffed with the jetsam of the past: everything from an illicit still and the island telephone exchange to the bath chair and set of equine slippers from the big hoose. Then there is the woollen mill at Bridgend, whose working machinery includes the only Spinning Jenny still in use outside museums.
North West lie wonderful beaches: thin flowery turf covers sheltering dunes that sweep down to firm white sand and five star rock pools. Bathing is not safe on the two we liked best, which might have been frustrating given better weather; a tourist booklet details plenty of beach choices.
Summer sights: sheep being shorn, basking seals, flocks of eider ducks and oystercatchers; driving between fuchsia hedges on roads embroidered down the middle with clumps of wild thyme is a pleasure made hazardous here only by the kamikaze sheep and, in the south east, by many deer. At the end of the Kildalton road is a chapel with one of the finest 8th century Celtic crosses in Britain, a block of local green stone carved with flourishing angels, serpents, and Old Testament goings on. An archaeological dig is well under way at Finlaggan, the modest and now nettle ridden island stronghold of the Lords of the Isles.
Translation - French De l’île d’Islay se dégage une impression d’espace et de prospérité, ce qui est inhabituel dans le reste des Hébrides. Des machines agricoles qui semblent fort coûteuses arpentent de grands champs. Les villages aux maisons pimpantes respirent la prospérité et ont un aspect guindé style 18ème siècle qui contraste avec l’implantation au petit bonheur de la plupart des communautés des Highlands. Bowmore est l'un des plus anciens villages planifiés d'Écosse. D’autre part, on n’y voit aucun signe du folklore omniprésent dans le reste des Hébrides (avec les danses comme les Hebridean tip, ou la Highland fling).
Tout cela est dû en grande partie au fait qu’Islay, par un oubli de l'histoire, possède, depuis plus de 200 ans, une industrie importante. Depuis, son destin a fluctué sur une vague de whisky pur malt. Tout au long du 18ème siècle, des propriétaires fonciers, l’un après l’autre, capitalisèrent sur l'absence inexplicable de tout agent local des douanes pour établir une entreprise prospère de whisky. Aujourd'hui, seule Speyside a plus de distilleries au kilomètre carré.
La distillerie Bowmore, fondée en 1770, est la plus ancienne des huit distilleries qui existent encore à Islay et une des quatre seules en Ecosse qui réalise encore son propre malt. Par conséquent, une odeur agréable de fumée de tourbe flotte sur le village, ajoutant un parfum convaincant d'authenticité à la commercialisation, qui met l’accent sur le caractère naturel du processus.
Les distilleries d'Islay ont pris conscience de l'importance des relations publiques ; elles accueillent toutes des visiteurs et chacune revendique un caractère unique. Après des années de brises marines à travers leurs entrepôts, ces malts-là ont de quoi faire pousser des poils sur la poitrine d'un homme (« Si encore il y avait des hommes », murmura notre troupe fort aigrie, la plupart ayant jeté un œil sur un car entier de personnes âgées qui entrées d’un pas mal assuré dans l’accueil visiteurs et décidèrent de rester dans la voiture).
La petite maison que nous avions louée, qui se trouvait dans une rangée d'anciennes maisons ouvrières converties par une autre distillerie, Bunnahabhain, partagait un morceau de côte sauvage près de Port Askaig avec des oiseaux de mer, plusieurs barriques et une épave de chalutier. Je n'ai jamais vu de base de vacances mieux équipée. Sèche-cheveux et sèche-linge nous sont venus fort à point, ainsi qu’un robot ménager pour nos trois soudainement et malencontreusement convertis végétariens.
C'était peut-être par loyauté au terroir, mais Bunnahabhain, moins fortement tourbé que les Laphroaigs et Lagavulins de la côte sud, mieux connus, s'est trouvé être notre malt d'Islay préféré ; c'était peut-être l'étiquette, qui montre un vieux loup de mer rentrant à la maison avec une chanson dans l'air et le vent dans sa barbe.
Quant aux choses à faire, il y en avait à foison. Le Musée de la vie d'Islay à Port Charlotte, primé, est un modèle du genre, rempli d'épaves du passé : tout, d'un alambic clandestin et du central téléphonique de l'île, à une fauteil roulant à capuche et à une paire de chaussons de cheval du manoir. Puis il y a la filature à Bridgend, où l’on trouve encore parmi ses machines en état de marche la seule Spinning Jenny encore en usage en dehors des musées.
Au Nord-Ouest se trouvent de magnifiques plages : une couverture mince d'herbe fleurie abrite les dunes qui descendent vers le sable blanc ferme et des mares résiduelles cinq étoiles. La baignade est dangereuse sur les deux que nous aimions le plus, ce qui aurait pu être frustrant dans de meilleures conditions météorologiques. Une brochure touristique donne beaucoup de détails sur les choix de plage.
Sites d'été : tonte de moutons, phoques allongés, groupes d’eiders et d’huîtriers; conduire entre les haies de fuchsia sur des routes brodées au milieu de touffes de thym sauvage est un plaisir rendu dangereux, ici uniquement, par les moutons kamikaze et, dans le sud-est, par beaucoup de cerfs. Á la fin de la route Kildalton il y a une chapelle avec une des plus belles croix celtiques du 8ème siècle de Grande-Bretagne, un bloc de pierre verte locale sculpté avec des anges, des serpents, et autres symboles florissants de l’Ancien Testament. Une fouille archéologique est en bonne voie à Finlaggan, la forteresse insulaire modeste et maintenant remplie d'ortie des Seigneurs des îles.
English to French: New Scientist Article General field: Science Detailed field: Biology (-tech,-chem,micro-)
Source text - English Overdosing on exercise
Overtraining emerged as the “athlete’s disease” in the 1980s, as it became clear that too much exercise can seriously damage your health. No one yet knows what causes it, but its symptoms are unmistakable: underperformance, fatigue, depression and vulnerability to disease. Top athletes are “walking a tightrope between supreme physical condition and immune suppression”, says Lynn Fitzgerald, a top ultra-distance runner turned immunologist., now at St George’s Hospital Medical School in London. The challenge for researchers is to find “fatigue markers” in bodily fluids that pinpoint when an athlete is about to topple off that tightrope.
The most reliable change is in the activity of natural killer cells, immune cells in the blood which form part of the body’s defence against virally infected cells and tumour cells. But the logistical difficulties of collecting blood from scores of athletes made Fitzgerald search for an easier test that could act as an early marker of generalised overtraining. She has now devised a saliva test of IgA antibodies that seems to fit the bill.
Trials with the British women’s hockey squad showed that these saliva antibody levels are related to an athlete’s risk of infection. “If an individual had a dramatic drop in levels, a viral infection followed in every case”, says Fitzgerald. Athletes with uncompromised immune systems may still become ill, but they fight off infections much more rapidly than those with signs of a suppressed immune system response.
Another researcher in this field, Eric Newsholme, is exploring ways in which muscles damaged by overtraining can suppress the immune system, and make athletes feel depressed. Newsholme, a biochemist at the University of Oxford and a marathon runner, links muscle damage to the immune system via glutamine, one of the amino acids found in proteins. He argues that endurance athletes, at least, would benefit from more glutamine.
Newsholme believes that muscles normally pump glutamine into the bloodstream where it stimulates the immune system. “Muscle can be considered to be part of the immune system”, he argues. Lymphocytes, or white blood cells – the antibody-producing components of the immune system – use glutamine as a fuel and to regulate biosynthetic pathways. Damaged or fatigued muscles may fail to supply enough, resulting in the suppression of lymphocytes. Levels of glutamine in the blood have been found to be low in marathon runners after a race in overtrained athletes.
Newsholme thinks certain amino acids also link muscles to the brain, generating fatigue and depression in the overtrained athlete. The key amino acid in this story, tryptophan, provides the raw material the brain needs to make serotonin, an important brain chemical messenger. Prolonged endurance exercise may boost the supply of tryptophan to the brain, as it increases the uptake of other, branched-chain, amino acids that normally compete with tryptophan for entry to the brain. As the level of free tryptophan in the blood increases, levels of serotonin in the brain may rise, perhaps leading to feelings of exhaustion and depression.
Translation - French Une overdose d'exercice
Le surentraînement s’est révélé être, dans les années 80, la « maladie de l'athlète », quand on a commencé à s'apercevoir que trop d’exercice peut nuire gravement à la santé. Personne n'en connaît encore la cause, mais on ne peut pas se tromper sur ses symptômes : contre-performance, fatigue, dépression et vulnérabilité à la maladie. Les athlètes de haut niveau « doivent trouver un équilibre, entre une condition physique optimale et une inhibition immunitaire », rapporte Lynn Fitzgerald, une coureuse d’ultrafond reconvertie en immunologue, maintenant à St George’s Hospital Medical School (faculté de médecine liée à l'hôpital St George) à Londres. Le défi pour les chercheurs est de trouver « des marqueurs de fatigue », dans les fluides corporels, qui puissent déterminer exactement quand un athlète est sur le point de perdre cet équilibre.
Le changement le plus fiable est celui concernant l'activité des cellules tueuses naturelles, cellules immunitaires dans le sang qui contribuent à la défense du corps contre les cellules infectées par des virus et les cellules tumorales. Cependant, les difficultés logistiques que représente la collecte de sang de nombreux athlètes ont poussé Fitzgerald à rechercher un test plus facile qui pourrait servir de marqueur précoce du surentraînement généralisé. Elle a conçu maintenant un test salivaire d'anticorps IgA qui semble satisfaire aux critères recherchés.
Des essais sur l'équipe féminine de hockey ont démontré que ces taux d'anticorps sont liés au risque d'infection auquel est exposé l'athlète. « Si une baisse spectaculaire des taux était observée chez un individu, une infection virale suivait à tous les coups », rapporte Fitzgerald. Les athlètes dont le système immunitaire n’est pas affaibli peuvent toujours tomber malades, mais ils combattent les infections beaucoup plus rapidement que ceux présentant des signes de réponse immunitaire inhibée.
Un autre chercheur dans ce secteur, Eric Newsholme, est en train d'étudier les façons selon lesquelles les muscles peuvent inhiber le système immunitaire, et être à l’origine de dépression chez les athlètes. Newsholme, biochimiste à l'université d'Oxford et marathonien, établit un lien entre les lésions musculaires et le système immunitaire grâce à la glutamine, un des acides animés que l’on trouve dans les protéines. Il soutient que les athlètes d'endurance, au moins, bénéficieraient d’un apport de glutamine.
Newsholme pense que, normalement, les muscles font circuler de la glutamine dans le sang, à partir duquel elle stimule le système immunitaire. Selon lui : « On peut considérer que le tissu musculaire fait partie du système immunitaire ». Les lymphocytes, ou globules blancs – composants du système immunitaire produisant les anticorps - utilisent la glutamine comme source d'énergie et pour réguler des voies biosynthétiques. Des muscles présentant des lésions ou fatigués peuvent ne pas en founir suffisamment, conduisant à l’inhibition de la réponse lymphocytaire. On a observé que les taux de glutamine étaient faibles dans le sang de coureurs de marathon surentraînés.
Newsholme pense que certains acides aminés relient aussi les muscles au cerveau, conduisant à de la fatigue et de la dépression chez les athlètes surentraînés. L'acide aminé clé dans cette histoire, le tryptophane, fournit la matière première qui permet au cerveau de produire de la sérotonine, un messager chimique important du cerveau. L’exercice d'endurance prolongé peut augmenter l'approvisionnement du cerveau en tryptophane, car il augmente l'absorption d'autres acides animés à chaînes ramifiées, qui entrent normalement en compétition avec le tryptophane afin de pénétrer dans le cerveau. A mesure que le taux de tryptophane libre dans le sang augmente, les taux de sérotonine dans le cerveau peuvent s'élever, ce qui pourrait conduire à une sensation d'épuisement et de dépression.
Other - Certified Translation Professional Designation (Global Translation Institute)
Experience
Years of experience: 12. Registered at ProZ.com: Apr 2012. Became a member: Jun 2012.
Credentials
French to English (Global Translation Institute , verified) English to French (Global Translation Institute , verified) English to French (City University of London, verified) English to French (Chartered Institute of Linguistics, verified)
Memberships
Global Translation Institute
Software
Across, Adobe Acrobat, Microsoft Excel, Microsoft Word, Powerpoint, Trados Studio, XTM
My experience as a certified translator and proofreader is extensive in the localisation of pharmaceutical documents, but also of material pertaining to cardiology, oncology, medical devices, genetics and health care. Furthermore, in the last six years, I have had the opportunity to work on large volumes of documents, ranging from marketing brochures to IFUs, for a global leader in implant, restorative and regenerative dentistry.
I am a dual national (French and British), native French speaker with native-like proficiency in English acquired by studying, living and working in the United Kingdom since 2000. My writing skills in both English and French combined with my rigorous, accurate and systematic proofing workflow, as well as the software I use, allow me to produce a quality end product that is both faithful to the source document and perfectly adapted to the target audience; a translation that does not look like a translation.
Before choosing to become a freelance translator, I worked as a biology teacher in the UK, mainly teaching A Level Biology (16 to 18-year-old students) in one of the best sixth form colleges in the country, where I prepared the more academically gifted students to pass the BioMedical Admissions Test (BMAT) used by top British universities like Oxford and Cambridge. Even if I value experience more than qualifications, I must mention that I have passed the Certified Translation Professional (CTP) examination from the Global Translation Institute, the Science and the General Units from the IoLET Diploma in Translation, and that I hold a BSc in General Biology from Montpellier University in France and a Post Graduate Certificate in Education from King's College London.
SPCs (Summary of Product Characteristics), PILs (Patient Information Leaflets) and labels following QRD templates for EMA (European Medicines Agency) and ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé).
Medical instrument descriptions/IFUs (cardiac devices, electrosurgical devices, orthopaedic devices, Negative Pressure Wound Therapy and skin grafting, automated analyser, medical beds, trolleys, cots, microtome, laboratory equipment, software, consumables, reagents...)
Biotechnology (forms, assays, HPLC, Material Safety Data Sheets (MSDSs)...)
Clinical guidelines
Other examples of translated and edited documents: literature for World Cancer Day; European First Aid Guidelines; training material on cardiology; iPad app for training health professionals about a new drug for COPD management; training manuals about a new drug for ADHD management; information about a range of lung diseases and their risk factors for an international organisation; drug patents; catalogue for a private hospital; EU Declaration on palliative care; medical questionnaires; veterinary pathology (articles); medical records (cardiology); treatment programme for HIV/TB patients; genetic counsellor’s reports; anatomical Pathology Products (Catalog); Nuclear Medicine Imaging Systems (guides); Autoimmunity (diagnosis of coeliac disease, thyroid diseases); Vial Identification System (from sample entry to final report); Foetal & Maternal Monitor (User Manual)