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English to French: NESCAFE beverage General field: Marketing Detailed field: Food & Drink
Source text - English Discover new NESCAFÉ Dolce Gusto Red Chai, a new drink full of colour, taste and stimulating sensations.
Red Chai is an amazing cocktail of South Africa’s redbush, spices with a kick (chili, ginger, guarana) and exotic red fruits in a delicious frothy drink guaranteed to arouse the senses.
NESCAFE Dolce Gusto New Red Chai guaranteed to appeal to your more adventurous side.
Translation - French Découvrez le nouveau Red Chai de NESCAFE Dolce Gusto, une toute nouvelle boisson à la couleur éclatante dont les saveurs vous procureront des sensations vivifiantes.
Le Red Chai est un incroyable mélange de rooibos d’Afrique du Sud, d’épices revigorantes (piment, gingembre et guarana) et de fruits rouges exotiques, le tout dans une savoureuse boisson à la mousse légère, qui promet de réveiller vos sens.
Le Nouveau Red Chai de NESCAFE Dolce Gusto ravivera votre côté aventurier.
English to French: Literary translation General field: Art/Literary
Source text - English Josie stood up and leaned against the counter, watching her mother cook. Domesticity wasn’t Alex’s strong point—she didn’t know how to make a pot roast but was proud to have memorized the phone numbers of every pizza place and Chinese restaurant in Sterling that offered free delivery. “Relax,” Alex said dryly.
“I think I can do this without setting the house on fire.”
But Josie took the skillet out of her hands and laid the strips of bacon in it, like sailors bunking tightly together.
“How come you dress like that?” she asked.
Alex glanced down at her skirt, blouse, and heels and frowned.
“Why? Is it too Margaret Thatcher?”
“No, I mean . . . why do you bother? No one knows what you have on under your robe. You could wear, like, pajama pants. Or that sweater you have from college that’s got holes in the elbows.”
“Whether or not people see it, I’m still expected to dress . . . well, judiciously.”
A cloud passed over Josie’s face, and she busied herself over the stove, as if Alex had somehow given the wrong answer. Alex stared at her daughter—the bitten half-moon fingernails, the freckle behind her ear, the zigzag part in her hair—and saw instead the toddler who’d wait at the babysitter’s window at sundown, because she knew that was when Alex came to get her.
“I’ve never worn pyjamas to work,” Alex admitted, “but I do sometimes close the door to chambers and take a nap on the floor.”
A slow, surprised smile played over Josie’s face. She held her mother’s admission as if it were a butterfly lighting on her hand by accident: an event so startling you could not call attention to it without risking its loss.
But there were miles to drive and defendants to arraign and chemical equations to interpret, and by the time Josie had set the bacon to drain on a pad of paper toweling, the moment had winged away.
“I still don’t get why I have to eat breakfast if you don’t,” Josie muttered.
“Because you have to be a certain age to earn the right to ruin your own life.”
Translation - French Josie se leva et se pencha par-dessus le comptoir pour regarder sa mère cuisiner. Les tâches ménagères n’étaient pas le fort d’Alex ; elle ne savait pas faire cuire un rôti, par contre, elle était fière d’avoir mémorisé tous les numéros de téléphone des pizzerias et restaurants chinois de Sterling qui proposaient la livraison gratuite à domicile.
- Détends-toi, dit Alex sur un ton sec. Je suis capable de cuire un œuf sans mettre le feu à la maison.
Mais Josie lui prit la poêle à frire des mains et y déposa des tranches de bacon, serrées les unes contre les autres.
- Pourquoi es-tu habillée comme ça ? demanda-t-elle.
Alex jeta un coup d’œil à sa jupe, sa chemise et ses talons hauts et fronça les sourcils.
- Pourquoi ? Ça fait trop Margaret Thatcher ?
- Non, je veux dire…pourquoi tu te soucies de ce que tu portes ? Personne ne voit comment tu es habillée sous ta robe. Tu pourrais même porter un pantalon de pyjama ou ce sweat avec des trous aux coudes qui date de tes années universitaires.
- Peu importe que ma robe cache mes vêtements ou pas, je me dois d’être habillée de façon disons…judicieuse.
Un nuage assombrit le visage de Josie et elle se donna une contenance en s’affairant aux fourneaux, comme si Alex avait, en quelque sorte, donné la mauvaise réponse. Elle fixa sa fille des yeux allant de ses ongles rongés qui formaient des demi-lunes à ses taches de rousseur derrière l’oreille et remonta jusqu’à sa raie de cheveux en zigzag. Tout à coup, elle la revit, bébé, quand Josie attendait à la fenêtre de sa baby-sitter en fin d’après-midi, parce qu’elle savait que c’était l’heure à laquelle Alex venait la récupérer.
- Je n’ai jamais porté de pyjama au travail, admit Alex. Mais il m’arrive parfois de fermer la porte de la chambre du tribunal et de faire une sieste par terre.
Un sourire de surprise apparut peu à peu sur le visage de Josie. Elle accorda à cette révélation la même attention qu’elle aurait accordée à un papillon venu se poser par mégarde sur sa main : c’était un évènement si déroutant qu’elle ne pouvait l’ignorer sans risquer qu’il ne s’évanouisse.
Mais il restait de nombreux kilomètres à parcourir, de prévenus à mettre en accusation et d’équations chimiques à analyser ; avant même que Josie ait pu égoutter son bacon sur une feuille de papier absorbant, ce moment s’était envolé.
- Je ne comprends toujours pas pourquoi je dois prendre un petit-déjeuner et pas toi ? marmonna-t-elle
- Parceque tu dois avoir un certain âge pour mériter le droit de gâcher ta propre vie.