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Affiliations
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English to French: Lightning General field: Tech/Engineering Detailed field: Computers: Software
Source text - English This is Cornell Nieh in sale operations, and this module will cover SFDC Lightning lead conversion for SDRs.
So the new Lightning home page looks very similar to what you've worked with in the past.
There are some improvements. On the Leads tab, you'll note that there is now a dropdown, and when you click that you will see a couple of different options. You will see recent records that you've accessed,as well as different list that you've seen in the past. So I'm going to go ahead and pull up this list right here,
and all of the leads associated with this particular view, which is generally tied to a campaign or show that may have taken place similar to what you've seen in the past. You have the ability to
select multiple records, and then perform a mass disposition on them simply by checking here, and then in the upper right clicking the Change Status button. I'll go ahead and cancel that one. For now I'll go ahead and drill down on a particular lead,
and all of the information around this lead displays down below.
In the upper right you'll see the various action buttons that I have, including Change Owner if the lead should in fact belong to someone else. The ability to convert. Many items within Salesforce will actually have this dropdown, and you'll see additional options available to you. So for this one, I can go ahead click Convert to New Deal. OK, I cut it out. OK. Once here, I can select the field AE that should own this.
OK, From this screen you can specify the record owner who is the field AE that should own this opportunity, the account name, so similar to what you've seen in the past. You can attach it to an
existing account that is in our SFDC instance, or if it truly
is a net new account you can go ahead and create that as well.
Once you're done you simply click the Convert button, and the new opportunity has been created to the proper field AE. That concludes this module.
Translation - French Je suis Cornell Nieh, du Service Commercial, et ce module couvrira la conversion de prospects dans SFDC Lightning pour les Responsables du Développement des Ventes. La nouvelle page d'accueil Lightning ressemble donc beaucoup à celle sur laquelle vous avez travaillé dans le passé. Il y a quelques améliorations. Dans l'onglet Prospects, vous remarquerez qu'il y a maintenant une liste déroulante, et lorsque vous cliquez dessus, vous verrez quelques options différentes. Vous verrez les données récentes que vous avez consultées, ainsi que les différentes listes que vous avez vues récemment. Je vais donc poursuivre en affichant cette liste juste ici, et tous les prospects associés à cette vue particulière, qui sont généralement liés à une campagne ou à une exposition, similaire à ce que vous avez vu antérieurement. Vous avez la possibilité de sélectionner plusieurs entrées, puis d'effectuer une affectation en masse simplement en cochant ici, puis dans le coin supérieur droit cliquer sur le bouton "Modifier l'État". Je vais annuler celle-ci. Pour l'instant, je vais poursuivre et je vais examiner un prospect particulier, et toutes les informations autour de ce prospect s'affichent ci-dessous. Dans le coin supérieur droit, vous verrez les différents boutons d'action, dont "Changer de Propriétaire" si le prospect devrait en fait appartenir à une autre personne. J'ai la capacité de convertir. De nombreux éléments de Salesforce sont dotés de cette liste déroulante et des options supplémentaires s'offrent à vous. Donc pour celui-ci, je peux procéder en cliquant sur "Convertir en Nouvelle Affaire". D'accord, j'ai arrêté. D'accord. Une fois ici, je peux sélectionner le Gestionnaire de Compte qui devrait détenir ceci.OK, à partir de cet écran, vous pouvez spécifier le propriétaire de l'enregistrement qui est le Gestionnaire de Compte qui devrait détenir cette opportunité, le nom du compte, donc similaire à ce que vous avez vu antérieurement. Vous pouvez le joindre à un compte existant qui est dans notre instance SFDC, ou s'il s'agit vraiment d'un nouveau compte, vous pouvez également le créer. Une fois terminé, il vous suffit de cliquer sur le bouton "Convertir", et la nouvelle opportunité a été créée pour le Gestionnaire de Compte approprié. Ceci conclut ce module.
French to English: Reasons and justification of the session's themes General field: Other Detailed field: Government / Politics
Source text - French La généralisation du multipartisme au sud du Sahara à partir du début des années quatre-vingt-dix s’accompagne d’une exacerbation des revendications identitaires, d’ordre ethnique, linguistique ou religieux. Cette apparente corrélation entre le « déverrouillage » autoritaire auquel ont dû consentir, contraints et forcés, la plupart des régimes de parti unique et la multiplication des mobilisations communautaristes, dont certaines ont dégénéré en véritables processus de « purification ethnique », a remis au goût du jour la supposée incompatibilité entre démocratie – idée et mode de régulation politique – et sociétés africaines. Elle a également redonné vigueur aux thèses primordialistes sur l’irréductibilité et l’immuabilité des « ethnicités africaines », promptes à (ré)fleurir dans certains discours politiques et médiatiques. Pourtant il serait abusif, voire erroné de voir dans la résurgence (ou la nouvelle visibilité ?) du fait identitaire le trait discriminant du politique en Afrique ou une sorte de « maladie infantile » du sous-développement, même si les usages sociopolitiques auxquels il donne lieu s’y déclinent selon des codes et des modalités spécifiques. En effet, en Afrique comme ailleurs, l’ethnicité n’est qu’un mode de mobilisation politique parmi d’autres et, pas plus qu’ailleurs, nul individu n’y est réductible à une appartenance identitaire « primordiale ».
En effet, les débats sur l’identité nationale semblent être aujourd’hui un fait marquant de notre époque. Pratiquement tous les peuples du monde ont interrogé, réexaminé et redéfini ce qu’ils ont en commun et ce qui les distingue des autres. Qui sommes nous ? Quelle est notre place ? Ces questions tourmentent bien des pays. La mondialisation a exacerbé la montée des identités infra, alter et transnationales dans tous les pays et de façon spécifique dans les pays multiculturels.
Pays d’Afrique Centrale indépendant depuis 1960, le Cameroun vit le phénomène avec une acuité particulière et les revendications identitaires y sont réelles, bien que de façon latente. Comptant en effet plus de 200 tribus et ethnies, le pays a hérité de son passé colonial d’un bilinguisme (français et anglais) qui va bien au-delà de simples différences linguistiques. Véritable melting pot religieux avec un nord majoritairement musulman et un sud chrétien (avec ici encore une multiplicité d’églises et de confessions) et animiste, le Cameroun compte une importante diaspora à qui le droit de vote a été accordé il y a moins d’un an tandis que la double nationalité continue de leur être refusée. Sur le plan politique, le multipartisme semble avoir cristallisé les replis identitaires avec une multiplication des partis politiques et de titres de presse correspondant pratiquement aux tribus existantes. De façon générale, le tribalisme est fortement décrié dans le pays et semble irriguer tous les aspects de la vie avec parfois de vives revendications. Le premier concours d’entrée à l’Ecole Normale supérieure de Maroua, la lettre confidentielle de l’Archevêque de Yaoundé, grand chancelier de l’Université Catholique d’Afrique Centrale, sont autant d’indices de la crise identitaire que traverse le pays et la preuve de l’existence d’une véritable menace sur l’édification et la consolidation de la nation camerounaise.
Fidèle à son idéal de culture de paix et démocratique, et son ambition de préparer au Cameroun, en Afrique centrale voir en Afrique des hommes et des femmes capables de construire des modèles d’intelligibilité susceptibles d’aider à une appréhension rationnelle de son mouvement vers l’avenir, l’Ecole Citoyenne et Politique de Yaoundé entend par l’organisation de sa deuxième session autour de la thématique « Identités multiples, démocratie et dynamique de paix » offrir un espace de réflexions et d’échanges à l’issue duquel l’on se rendra compte que la multi culturalité, loin d’être un obstacle peut constituer une véritable richesse et une chance pour les démocraties en édification de l’Afrique centrale.
Translation - English Generalization of multiparty system in Africa sub-Saharan region from the early ninety’s is followed by an exacerbation of identity claims based on ethnic, linguistic or religious view. This apparent correlation between authoritarian "unlocking" which had to accept, pushed and shoved, most single-party regimes, and the multiplication of communitarian mobilization, some of which escalated into real process of "ethnic cleansing", has brought to light the supposed incompatibility between democracy - idea and method of political control - and African societies. This has also reinvigorated the crucial theses on the indivisibility and immutability of the "African ethnicities", quick to (re) flourish in some political and media speeches. Yet, it would be unfair or wrong to see the resurgence (or the new visibility?) of identity as the discriminative feature of politics in Africa or some kind of "infantile disease" of underdevelopment, even if socio-political uses to which it gives rise to are declined according to specifics codes and rules. Indeed, in Africa as elsewhere, ethnicity is only a mode of political mobilization among others and, as everywhere else; no individual is reduced to that "primordial" sense of belonging.
In fact, debates on national identity seem to be today a highlight of our time. Almost all the nations around the world questioned, reviewed and redefined what they have in common and what distinguishes them from others. Who are we? What is our place? These questions torment many countries. Globalization has exacerbated the rise of infra, alter and transnational identities in all countries and specifically in multicultural countries.
Central African country and independent since 1960, Cameroon is experiencing the phenomenon with particular acuity and identities claims are real, albeit latent. With indeed more than 200 tribes and ethnic groups, the country has inherited from its colonial past a bilingual system (French and English) that goes beyond mere linguistic differences. True cosmopolite religious country with a northern part predominantly Muslim and a southern part both animist and Christian (again with a multiplicity of churches and denominations), Cameroon has a large Diaspora for which the right to vote was granted less than a year ago while they are denied dual citizenship. On the political side, the multiparty system seems to have crystallized identity retrenchment with a proliferation of political parties and newspaper titles corresponding substantially to existing tribes.
In general, tribalism is strongly criticized in the country and seems to irrigate all aspects of life with sometimes strong claims. The first entrance exam at the Higher Teacher Training College in Maroua, the confidential letter from the Archbishop of Yaoundé, Chancellor of the Catholic University of Central Africa, are all indicators of the identity crisis that the country is going through and the evidence of the existence of a real threat to the building and consolidation of the Cameroonian nation.
Faithful to his ideal of peace and democracy, and its ambition to prepare in Cameroon, in Central Africa and even in Africa men and women able to build models of intelligibility that can help a rational understanding of the movement forward, The Citizen and Political School of Yaounde intends, through the organization of its second session on the theme "Plural societies, democracy and peace dynamics" , to provide a space for reflection and discussion after which we will realize that multiculturalism, far from being an obstacle can be a real wealth and a chance to build democracies in Central Africa.
French to English: Presentation of the school General field: Other Detailed field: Government / Politics
Source text - French L’Ecole Citoyenne et Politique de Yaoundé (ECPY) est une institution apolitique, laïque et à but non lucratif. L’objectif poursuivi est de contribuer à la consolidation de la démocratie, à la promotion des Droits de l’Homme et au renforcement de l’Etat de droit, à travers la formation des acteurs sociopolitiques entrés dans la scène politique sans compétences appropriées. Ainsi, l’ECPY se propose de mettre à la disposition de ces acteurs des outils susceptibles de favoriser l’émergence d’une nouvelle classe politique au Cameroun en vue d’un exercice plus professionnel de la fonction politique.
Pour mettre en exergue cette noble mission qui vise à promouvoir en permanence le dialogue républicain entre les différentes parties prenantes pour un vivre ensemble harmonieux, l’ECPY a retenu comme devise : « Pour une gestion citoyenne, participative et responsable de la chose politique ».
1.1.1. Approche pédagogique
L’ECPY opte pour une approche pédagogique fondée sur la pluridisciplinarité et la transversalité. Le mécanisme de transmission des connaissances retenu est l’organisation des séminaires de formation, d’échanges et la tenue des classes foraines au cours desquels il est mis à la disposition des auditeurs des outils à la fois théoriques et pratiques qui les rendent capables de relever les nombreux défis auxquels ils peuvent être confrontés. L’acteur sociopolitique, en sa qualité d’agent social, est plus à même d’appréhender la multiplicité et la complexité des problèmes sociaux, culturels, économiques et politiques.
Pour ce faire, une collaboration étroite entre universitaires, théoriciens et patriciens, familiarisés aux réalités politiques, est recherchée dans l’optique de créer une dynamique respectueuse des différences et visant à conforter la démocratie participative.
L’EPCY se donne également une vocation sous régionale pour matérialiser le rêve d’un continent qui s’affirme dans le concert des Nations. Elle s’approprie ainsi les termes de l’extrait de l’Hymne national camerounais : «… De l’Afrique soit fidèle enfant …».
1.1.2. Profil des facilitateurs
Les facilitateurs ont des universitaires chevronnés, rompus à la question politique et civique, intéressés par les problèmes qui se posent à nos pays en cours de démocratisation. Pour une assimilation pratique des enseignements à diffuser, Ils se recrutent également parmi les professeurs consultants éprouvés à la méthode andragogique.
1.1.3. Forces de l’ECPY
La création de l’ECPY vient combler un besoin en éducation politique et citoyenne latent aussi bien au Cameroun que dans la Sous-région. L’engouement observé lors de la session de lancement en mars 2013 à Yaoundé constitue un indicateur fort éloquent.
D’autres opportunités peuvent aussi être saisies pour accélérer l’implantation de l’ECPY :
- L’existence d’un environnement propice au développement de l’éducation politique et citoyenne
o Pionnière dans le domaine de l’éducation politique et citoyenne au Cameroun et en Afrique centrale, l’ECPY sort des sentiers battus en ce sens qu’elle propose un programme de formation structurée et méthodique pour les acteurs sociopolitiques. Elle cible l’ensemble de citoyens, sans distinction d’obédience politique, et dont la conjugaison des efforts est sollicitée pour l’émergence du Cameroun et du continent.
L’ECPY a une envergure large qui étend, à l’adresse de tous les acteurs, la formation sur la politique et la citoyenneté. En associant les deux domaines, l’Ecole recherche un citoyen socialisé, orienté vers des valeurs, capable de s’adapter au nouvel environnement et apte à se réaliser. Ainsi, l’ECPY s’implante dans un environnement où les attentes sont nombreuses, les besoins multiples, urgence et d’une grande acuité.
- La volonté politique certaine des pouvoirs publics camerounais. La mise en place par le gouvernement des programmes appelés à assainir les mœurs publiques et à élaborer des stratégies de développement constitue une excellente opportunité pour l’ECPY de contribuer à la mise en œuvre des mécanismes d’incitation du citoyen à se sentir tout désigné à occuper, de façon professionnelle, l’arène politique et à contribuer au renforcement des actions d’amélioration effective des conditions de vie des populations pour l’émergence en 2035 du Cameroun. Il s’agit entre autres :
o de la mise en place des institutions d’amélioration de la gouvernance institutionnelle : le Programme National de Gouvernance (PNG), la Commission Nationale Anti-corruption (CONAC), l’Agence Nationale d’Investigation Financière (ANIF)…
o l’existence d’un département ministériel chargé de l’éducation civique et dont l’Agence du Service Civique National de Participation au Développement (ASCNPD) en est l’outil d’opérationnalisation ;
o la mise en œuvre de la Stratégie pour la Croissance et l’Emploi ancrée dans la vision de développement du Cameroun à l’horizon 2035 ;
o le contexte de réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), horizon 2015.
- Des ressources humaines compétentes et disponibles
o L’ECPY compte déjà un bassin d’enseignants d’universités de renom et de professionnels dans divers secteurs d’activités, prêts à contribuer à la construction de l’œuvre.
- Une opinion favorable de la part de la jeunesse camerounaise qui s’est constituée en une équipe dynamique d’une cinquantaine de bénévoles et de volontaires ;
- Un réseau de partenaires crédibles
o L’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), le Conseil de l’Europe sont des partenaires qui ont déjà fait leur preuve. D’autres négociations aux niveaux national et international sont en cours d’arrangement et de prospection.
1.1.4. Faiblesses
Les faiblesses de l’ECPY tiennent essentiellement à :
- la prime jeunesse de l’œuvre et aux problèmes liés au démarrage d’une activité d’aussi grande envergure. Ainsi,
o le développement institutionnel de l’ECPY est fortement tributaire de sa capacité financière encore faible ;
o l’absence d’un personnel administratif permanent ;
o le reflexe professionnel inexistant chez les jeunes volontaires et bénévoles de l’ECPY ;
o le manque de siège et de logistique ;
o l’environnement encore empreint de suspicion, car l’ambition ici est parfois mal interprétée et crée des résistances au changement qu’elle veut véhiculer.
Translation - English The Citizen and Political School of Yaounde (CPSY) is an apolitical, secular and non-profit institution. The objective is to contribute to the consolidation of democracy, promoting Human Rights and strengthening the rule of law, through the training of socio-political actors entering the political arena without proper skills. Thus, CPSY intends to provide these actors with the tools to promote the emergence of a new political class in Cameroon for a more professional knowledge in political function.
To highlight this noble mission whose aim is to continuously promote republican dialogue between different stakeholders to live together harmoniously, CPSY chose as motto: "For a participative citizen management, and accountable to politics."
Pedagogical approach
CPSY has opted for an educational approach based on multidisciplinarity and transversality. The mechanism of transmission of knowledge retained is the organization of seminars, exchanges and holding of carnival classes in which both theoretical and practical tools will be made available auditors to enable them meet the many challenges they may face. The socio-political actor, as a social agent, is able to understand the multiplicity and complexity of social, economic, cultural and political issues.
To do this, close collaboration between academics, theorists and patricians, familiar to political realities, is sought in the context of creating a dynamic respecting differences and to strengthen participatory democracy.
CPSY also has a sub-regional vocation to materialize the dream of a continent that is established in the concert of Nations. It appropriates the terms from the extract of the Cameroon National Anthem "... Foster,for Mother Africa, a loyalty ...".
Profile of facilitators
Facilitators are experienced academics versed in political and civic issues, interested in the problems facing our countries undergoing democratization. For a practical assimilation of lesson to be broadcasted, they are also recruited among experienced consultant teachers in adult education method.
CPSY strengths
The creation of the CPSY fills a need for undeveloped political and civic education both in Cameroon and in the Sub-region. The enthusiasm observed during the launch session in March 2013 in Yaoundé is an eloquent indicator.
Other opportunities can also be seized to accelerate the implementation of CPSY:
- The existence of a conducive environment for the development of political and civic education
o A pioneer in the field of political and civic education in Cameroon and Central Africa, CPSY gets outside the path in that it proposes a structured and methodical training for socio-political actors. It targets all citizens, regardless of political affiliation, and whose combined effort is sought for the development of Cameroon and Africa.
o CPSY has a broad scope that extends to all stakeholders, training in politics and citizenship. By combining the two areas, the school is looking for a socialized, value-oriented citizen, capable to adapt to the new environment and capable to be achieved. Thus, CPSY is implanted in an environment where expectations are high, needs are multiple, urgent and serious.
- The degree of political commitment of the government of Cameroon. The establishment by the government of programmes to restore public morals and development strategies is an excellent opportunity for CPSY to contribute to the implementation of incentive mechanisms for citizens to feel designated to occupy, professionally, the political arena and contribute to strengthening actions for effective improvement of the living conditions of the population for the emergence of Cameroon in 2035. These include among others:
o the establishment of institutions to improve corporate governance: the National Governance Programme (NGP), the National Anti-Corruption Commission (NACC), the National Agency for Financial Investigation (NAFI)…
o the existence of a ministry in charge of civic education and the Agency for National Civic Service for Participation in Development (ASCNPD) is the operational tool;
o the implementation of the Growth and Employment Strategy established in the vision of the development of Cameroon by 2035;
o the context of achieving the Millennium Development Goals (MDGs) by 2015.
- Competent and available human resources
o CPSY already has a pool of renowned university teachers and professionals in various sectors, ready to contribute to the construction of the work.
- A favorable opinion from the Cameroonian youth, who formed a dynamic team of about fifty volunteers;
- A network of reliable partners
o The International Organization of the Francophonie (OIF), the Council of Europe, are partners who have already proven themselves. Further negotiations at the national and international levels are being undertaken and explored.
Weaknesses
The weaknesses of CPSY are mainly due to:
- The youthfulness of work and problems related to starting an activity with such a large scope. Thus,
o the institutional development of CPSY strongly depends on its still weak financial capacity;
o the absence of a permanent administrative staff;
o nonexistent professional reflex in young CPSY volunteers;
o lack of a head office and logistics;
o the environment still full of suspicion because ambition here is sometimes misinterpreted and creates resistance to the change it wants to convey.
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Experience
Years of experience: 15. Registered at ProZ.com: Nov 2010.
Expertise